samedi 31 décembre 2016

> Moebius, Inside Moebius Intégrale 2016…

La fin de l'année 2016 s'est terminée en apothéose par la sortie de l'intégrale d' Inside Moebius chez Stardom Moebius Productions Production (ah ! je me rends compte qu'il n'y a pas de "s",  ce qui serait une faute ?). J'ai la chance qu'on me l'ait offerte, accompagnée de son Sketchbook collector, reprenant quelques crayonnés, et qui n'est pas plus excitant que cela, hormis — justement — ce côté collector
Il n'apporte rien de plus à la lecture de cette intégrale d' Inside Moebius, et est surtout amusant avec cette signature manuscrite imprimée sur la couverture : nul doute qu'un rapide revendeur essayera bientôt de faire croire que celui-ci est vraiment signé par Moebius ??!…

Tout Inside Moebius, c'est 736 pages de pur bonheur en couleurs, sur un papier type bible, sous une couverture reliée et en couleurs rehaussée d'une jaquette en couleurs et toujours d'un format de 16,8 x 24 cm.
Disons-le tout net : Inside Moebius est un chef-d'œuvre.
Mais le dessin de la jaquette aura la palme de plus laide couverture de Moebius !
Heureusement que celle sous la jaquette est plus "agréable" à regarder !…

Moebius (Jean Giraud) Inside Moebius Intégrale
Moebius Production 2016

Moebius (Jean Giraud) Inside Moebius Sketchbook
Moebius Production 2016

Moebius y apparait sous des traits très étranges, presque perturbants, auxquels j'éviterais d'accoler les qualificatifs qui me sont venus à l'esprit tant j'adore, aime et suis en admiration depuis des décennies devant son œuvre gigantesque et subliminale…
Juste dommage…

Inside Moebius a commencé à faire son chemin sur le papier à dessin en 2004, lorsque Moebius décide d'arrêter de fumer de l'herbe et de coucher sur le papier sous forme de carnet les impressions découlant de cette expérience inversée (en général, c'est la consommation de stupéfiants qui a toujours généré l'œuvre artistique et non pas le contraire)  qui, sans être du Soleil Levant, n'en sont pas moins rayonnantes.
Cela donne cet Inside Moebius Tome 1 édité par les éditions Stardom (on met un "s" à éditions normalement) en 2004.

Moebius Jean Giraud Inside Moebius Tome 1
Edition(s) Stardom 2004

Distribué par une toute petite structure anecdotique en ce domaine, sa diffusion artisanale dans quelques très rares points de vente privilégiés ne rendit pas sa découverte aussi rapide et large que le méritait ce premier  tome d' Inside Moebius !
Heureusement, Moebius se prendra au jeu du carnet intériorisé et continuera cette quête intérieure faite entre le Moebius du 21e siècle et celui du XXe siècle (vous vous souvenez ? cheveux longs  dans le cou et frisés serrés, petites lunettes ovales…), et, plus encore entre le créateur et ses créatures de papier, sans oublier entre Moebius & Jean Giraud, entre lui-même et son double.
Sa maison d'édition passera progressivement vers une structure de diffusion plus adaptée, implantée et professionnelle.
C'est véritablement à partir du troisième tome et davantage à la sortie du quatrième que la série Inside Moebius commença à trouver un public et une audience bien plus considérable, à la mesure de son importance.

Et, ce qui n'aurait pu être que quelques volumes pour happy fews privilégiés par le hasard de la fréquentation des quelques librairies chanceuses de connaître le distributeur (ce qui est à l'opposé même de la diffusion dans le monde du livre), devint une série qui continua, continua jusqu'à être composée de six beaux volumes reliés.
Ce sont donc ces six volumes qui sont donc repris par Moebius Production (étonnamment sans "s" à la fin) dans ce qui n'est pas un très gros livre en apparence — finesse du papier type "bible" oblige — mais avec tout de même ses quelques (plus de) 700 pages en couleurs à lire (et relire) !

Moebius Jean Giraud Inside Moebius Tome 2
Edition(s) Stardom - Moebius Productio(s)  2006

Moebius Jean Giraud Inside Moebius Tome 3
Edition(s) Stardom - Moebius Productio(s)  2008

Moebius Jean Giraud Inside Moebius Tome 4
Edition(s) Stardom - Moebius Productio(s)  2007

Moebius Jean Giraud Inside Moebius Tome 5
Edition(s) Stardom - Moebius Productio(s)  2008


Moebius Jean Giraud Inside Moebius Tome 6
Edition(s) Stardom - Moebius Productio(s)  2010

Finalement, il faut bien se rendre compte que ces Inside Moebius introspectifs ne sont qu'une forme alternative d'autobiographie en Bande Dessinée, telle que la Nouvelle Bande Dessinée (définition complètement fictive et fantasmée inventée par quelques personnes en quêtes de concepts nouveaux ?) a pu produire à la pelle, avec des réussites indéniables mais quelques autres publications à l'interêt très mitigé — voire moins, si affinités — dans le genre.
La différence majeure est très simple à discerner : il s'agit là d'un des quelques très rares auteurs majeurs de la Bande Dessinée — voire le seul — , du 9ème Art et de l'expression graphique ou plastique qui s'immisce, à sa façon, de manière subtile et discrète dans ce genre (ou sous-genre ?)  de la Bande Dessinée…

Moebius Jean Giraud Inside Moebius
Dédicace au crayon papier par Moebius
Autoportrait au cerveau qui explose

Et, l'air de rien, de façon désinvolte pour paraphraser Noir Désir, Moebius met une petite claque amicale et fait la leçon à tous les tenants ou intégristes de l'autobiographie en Bande Dessinée…
Sans en avoir nullement l'intention, mais la leçon est évidente et de fait !…
Et, plus encore, inéluctable voire indélébile…
Ce n'était certainement pas son but, ni même son style, mais, force est de constater que tel est tout de même le cas : effectivement quand un des plus grands artistes de Bande Dessinée, qui plus est créateur de séries majeures, voire d'un classique absolu de la Bande Dessinée de genre avec Blueberry (& Jean-Michel Charlier) commence à converser, à réfléchir et à disserter sur son rôle de créateur et et d'artiste avec des créatures de papier connues par le plus grand nombre, il est évident que cela ne peut que parler, ou avoir un impact nettement plus considérable que celui obtenu par n'importe quel autre auteur parlant des problèmes existentiels de son magnifique nombril !…

Moebius Jean Giraud Inside Moebius
Dédicace aux crayon de couleurs par Moebius
Malvina

Quand les problèmes de création sont abordés avec des personnages de fiction reconnus par la plupart des lecteurs de Bande Dessinée, et, parfois, dépassant le simple cadre du milieu de la Bande Dessinée francophone, ceux-ci prennent une toute autre dimension et tendront d'une manière plus naturelle vers l'Universel !
Imaginez donc, Moebius / Jean Giraud disserter avec Blueberry, Arzach, Le Major Grubert et sa Dame Malvina qu'il retrouve à cette occasion, mais aussi Stel et Atan / Atana venus tous deux des Jardins d'Edena, sans oublier son double —  Jean Giraud ou Moeb — jeune dessinateur de Bande Dessinée… et Jean-Michel, son inconscient habillé en Mickey !
D'autant plus, qu'à l'opposé de la majorité des cas, Moebius / Jean Giraud reste tellement élevé dans les Cieux de la Bande Dessinée qu'il ne peut s'empêcher de rire de lui-même et, de nous faire rire, avec ce regard si affûté et aiguisé sur ses propres œuvres, ses propres Univers.
Il peut oser provoquer Ben Laden et tous les intégristes de tous poils (de barbe of course) avec la délicieuse Malvina qui se met nue devant le terroriste saoudien : la nudité féminine ne pouvant être que l'incarnation diabolique la plus extrême aux yeux des intégristes de tous poils (pubiens en l'occurrence) et, finalement l'arme absolue contre leurs esprits diaboliquement sclérosés…
Ces quelques pages sont à elles seules plus engagées et politiques que la plupart des autobiographies ou des livres de Bande dessinée actuels : mais n'est-ce pas là le rôle premier de l'Artiste, que celui de provoquer et oser ? D'être notre porte-étendard ?…
Et, là encore, en poussant si loin la confrontation entre ses personnages et le triste sire saoudien (il faut absolument découvrir la chute hilarante) qu'il ne peut que faire résonance avec d'anciennes histoires comme Cauchemar Blanc, pour ne citer que celle-ci…

Mais, Moebius / Jean Giraud peut aussi supporter les reproches permanents de son Blueberry, encore plus crasseux et négligé qu'à son habitude (avec des mouches qui volent autour de lui),  qui n'a de cesse de lui demander trop / si souvent d'arrêter de perdre son temps (donc de l'argent), aussi bien avec ces Inside Moebius qui ne servent à rien, qu'avec tant d'autres travaux signés Moebius pour — enfin — se remettre au travail qui rapporte et se consacrer à de nouveaux Bueberry, à cette série qui, elle, se vend si bien…
Blueberry, ou le classique des classiques de la Bande Dessinée du genre western, tel un cantique des cantiques pour rester dans la Religion.

Moebius Jean Giraud Inside Moebius
Dédicace au feutre par Moebius
Malvina

Là, où malheureusement certains restent encore et toujours dans l'imposture totale ou se prennent vraiment trop au sérieux, Moebius / Jean Giraud à travers ses centaines de pages de Inside Moebius nous démontrent que jamais, au grand jamais, il n'est dupe de lui-même, voire des nombreux cercles qui l'entourent…
Ceux-là même qui ne pouvaient par leurs questions répétitives, cesser de lui demander où en était le nouveau Blueberry, ou, pourquoi il ne sortait pas un nouveau Blueberry : questions existentielles par excellence, du lecteur / collectionneur avide de l'histoire rassurante de sa série préférée, de son monde maîtrisé…
Cercles qui gravitaient autour de Moebius, Soleil immanent d'une 9ème Galaxie imaginaire, et, qui, je l'espère pour lui, n'étaient pas au nombre de neuf, sinon c'eut été vraiment infernal…

Lire, ou relire Inside Moebius relève de la délectation suprême et permettra à chaque fois de se rendre compte à quel point l'artiste majeur reste — encore et toujours, et pour l'Éternité — bien au-dessus de la mêlée de celles et ceux qui, dès qu'une once de reconnaissance ce profile, commencent à distribuer des bons points ici ou là, à vouloir absolument déterminer qui ferait de la bonne ou de la mauvaise autobiographie, tels des Commissaires Politiques du genre…
Moebius continue à créer et à explorer tranquillement, sereinement, et laisse les autres aboyer quand la caravane passe, là-bas,  au loin, dans son Désert B intérieur.

Si Major Fatal, Le garage hermétique de Jerry Cornélius est, et reste le livre de Bande Dessinée que j'aime le plus au monde, il est évident, que Inside Moebius prend et acquerra au fil des ans une place particulière et majeure dans la Bande Dessinée du 21e siècle !

Moebius Jean Giraud Inside Moebius
Dédicace aux crayon de couleurs par Moebius
Le major Grubert

Tout le monde peut constater très vite que les pages du premier volume étaient succinctes et très "lâchées", voire esquissées pour ce qui concerne le dessin : le principe même du carnet, avec les phrases et les formules jetées sur le papier était respecté à ce niveau…
Mais Moebius ne peut être personne d'autre que Moebius, et le naturel revient toujours au galop du cheval qui traverse le Désert (le désert B évidemment), et emmène Blueberry vers de nouvelles aventures trépidantes : au fil des pages, et des différents volumes, Moebius se prend à son propre jeu et ne peut s'empêcher de dessiner de mieux en mieux. Et, du trait très stylisé des débuts, presque crobards déguisés, valorisés par la mise en couleurs, nous découvrons peu à peu des pages de plus en plus structurées, et des dessins davantage aboutis… jusqu'aux dernières pages, grandioses et merveilleuses…
Telles une explosion graphique, forme de bouquet final, qui nous poussent à regarder le feu d'artifice graphique de Moebius jusqu'à la fin, jusqu'à la dernière lueur…

Moebius / Jean Giraud avec ce voyage à l'intérieur de lui-même et dans son Désert B, ce désert si important dans la plupart (toutes ?) des religions révélées et lieu de méditation, de révélations ou de résistance aux tentations du monde matériel, nous emmène une fois de plus sur des rivages lointains et merveilleux connus de lui seul, là où tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté*

Moebius, L'ange créateur
Dessin original encre de Chine et crayons — 2005

"Mon ambition, là, c'est plutôt d'amener une sorte de sourire sur les lèvres du lecteur"

Moebius / Jean Giraud
(Tout Inside Moebius — 2016)



Valéry Ponzone


Mœbius
Moebius
Möbius
Mœb
Moeb
Mœbius - Giraud
Gir
Giraud
Jean Giraud
JG
Jijé
Joseph Gillain

Tiens ?!… Comme c'est amusant de boucler un ruban de… Möbius !


* L'invitation au voyage de Charles Baudelaire


PS Désolé pour les fautes de la premières version et pour celles encore présentes : mon challenge de terminer ce billet avec quelques verres ingurgités pour célébrer la Nouvelle Année a rencontré ses limites… notamment de la bonne utilisation des coordinations dans la Langue Française !

mardi 27 décembre 2016

> So long Princesse Leia Organa d'Alderaan…

Décidément toutes nos icônes populaires et mythiques nous quittent les unes après les autres…
Elles ne disparaîtront jamais vraiment puisque leurs voix, leurs images, leur vie ont été figées à tout jamais sur les supports adaptés, qui nous permettent de les voir, de les entendre, de les re-voir et ré-entendre à volonté !…
C'est au tour de Carrie Fisher de nous quitter, après une crise cardiaque dans un avion pendant un simple vol entre Londres et Los Angeles : elle, qui en incarnant la Princesse Leia dans Star Wars, traversait l'hyperespace a long time ago, in a Galaxy far, far away dans des vaisseaux spatiaux !…

C'est incroyable de constater à quel point Carrie Fisher ne fut pour tous que la Princesse Leia, et uniquement ce personnage de fiction, au point de quasiment disparaître au profit de ce character et ses macarons !

Elle a forcément été dessinée maintes fois dans tous les comics, adaptations ou variations sur l'Univers créé par Georges Lucas (devenus Star Wars Légendes depuis la date du 25 ou 26 avril 2014 after WD®, après Walt Disney®).
Même nos Vatine et Blanchard nationaux s'y sont collés dans les années 90, avec l'excellente mini-séries Heir to The Empire éditée par Dark Horse Comics.
Mais le véritable premier dessinateur fut Al Williamson,  avec Archie Goodwin au scénario, pour leurs fameux Classic Star Wars, suivi de Rebel Storm et Escape to Hoth

Goodwin + Al Williamson, Classic Star Wars
© Dark Horse Comics (USA)

Il y eut de nombreuses illustrations et de nombreuses couvertures de livres, voire des peintures dérivées de la saga Star Wars, et, bien évidemment, elle ne pouvait qu'en faire partie…

Ralph McQuarrie fut certainement le peintre le plus important pour Georges Lucas, par ce qu'il permit à la saga Star Wars de devenir…

Star Wars par Ralph McQuarrie

Vous trouverez un peu partout sur la toile galactique des dizaines et des dizaines de dessins, peintures et illustrations d'elle.
Voici juste une giclée de peintures de Dave Dorman, si apprécié par Lauffray, et quelques autres pour le clin d'œil… avec un dernier choc visuel à couper la chique…


Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Dave Dorman
Leia dans Star Wars par Dave Dorman

Leia dans Star Wars par Jusko

Leia dans Star Wars par …

Mona Leia par Jin Hance

Leia dans Star Wars par un plagiaire !

Starwatcher 2 par Mœbius 

Je vous ai épargné la sempiternelle comparaison entre la scène de Jabba the Hutt avec Leia attachée à ses pieds et les dessins de Mézières pour Valérian et Laureline

Mais je ne pouvais résister à la dernière qui trainait dans un coin de mon esprit :  même pour dessiner la Princesse Leia, certains "artistes" n'hésitent pas à plagier Moebius en reprenant l'une de ses célèbres Starwatcher qui furent éditées en sérigraphie par les éditions Aedena dans les années 80 !!!…
Le type aurait-il pensé que StarWatcher = SW = Star Wars ?…
Il est vrai que Leia est une Skywalker, que l'on pourrait aussi abréger en Leia SW ?
Mais sincèrement, je doute fort qu'il ait pensé à quoi que ce soit…
Vous remarquerez que tout y est : de la composition de l'ensemble au décor, et, bien évidemment la pose et l'attitude de Leia en Starwatcher… 
Deux soleils en plus dans le ciel pour faire vraiment Science Fiction et un casque à la place d'un cube, et le (mauvais) tout est joué !

So long Princesse Leia, que la Force soit avec toi*  et tes macarons !…
Puisses-tu continuer à marcher sur l'Étoile…




Valéry Ponzone





*May the Force be with you


lundi 26 décembre 2016

> Last Christmas… 2016

Wham! dans la tête…
Pleins de souvenirs remontent. les tenues blanches et le déhanché spécial claquement de doigts Wake me up before you Go-Go pour donner le rythme en play-back
J'apprends très tôt ce matin qu'une partie de mes souvenirs made in 80's s'en est allée…

Le début d'année avait déjà été difficile, avec la perte de celui qui fut l'un de mes héros des années 70, 80 et les suivantes
Il y a eu Johan Cruyff qui a marqué les gamins joueurs de foot que nous étions, mais s'il dansait avec le ballon, il ne chantait pas trop. Enfin, si : il faisait chanter les défenses adverses !






Après David ashes to ashes Bowie, Prince (sans oublier Michel Delpech non ?)  c'est au tour de Georges Michael : p@#&*$ à 53 ans !!…

Si j'exécrais des groupes comme Duran Duran ou Culture Club / Boy Georges, Wham! faisait partie des rares trucs festifs de cette pop anglaise que je pouvais entendre en bande son radio (c'est le début des Radios Libres, futurs robinets des musiques anglo saxonne).

Pourtant très éloigné de ce que j'écoutais vraiment, plus orienté que j'étais en cette période vers The Clash, Joy Division / New Order, The Smiths, Echo and the Bunnymen, The Woodentops, Gang of Four ou Beasty Boys, The Cure, Siouxie and the Banshees (et The Gloves pour faire le lien), Cocteau Twins ou Jesus and Mary Chain etc.

Peyraud : dédicace personnelle à la librairie
in Celles qu'on regrette (Treize Etrange)
Qui se moque de moi puisque c'était la bande son saturée
de sa séance de signature ce jour là : Munki venait de sortir…

Il n'y avait que peu de groupes vraiment popop, comme dirait le cousin de Donald, tels que Wham! ou Depeche Mode, Tears for Fear que mes oreilles supportaient…

Mais tout de même, partir comme ça en période de Noël après avoir fait : 



J'avais oublié les coupes de cheveux, les vêtements, les décolorations (on vire presque ethnologie ?) et ces minauderies insupportables qui nous passaient au dessus de la tête trop jeunes que nous étions , sans oublier la trame scénaristique de ce clip : presque de la Nouvelle Vague (de cheveux), caméra sur l'épaule…
Mais tout de même, 53 ans !
P@#&*$  !!!

Last Christmas : c'est le cas de le dire…


Valéry Ponzone


dimanche 25 décembre 2016

> C'est Noël ! … par Macherot

Noël est enfin arrivé et après quelques Pères Noël bien délicats venus pour marquer l'instant sacré de la Trêve… voici le Jour Sacré de la Nativité !…

Macherot, Chlorophylle et Minimum
Le Journal de Tintin numéro 374 du 22 décembre 1955

Suivons Chlorophylle et Minimum et laissons-nous guider par l'Étoile qui s'est levée par cette Belle Nuit d'hiver…

Joyeux Noël !!!…

Les enfants déballent leurs cadeaux avec les yeux qui brillent et de grands cris de joie : la Vie est vraiment trop courte et trop fragile pour oublier qu'il faut en profiter… et  la goûter à pleines dents !

Joyeux Noël !!!…

Paix sur la Terre aux Hommes et aux Femmes de Bonne Volonté !…



Valéry Ponzone